Encore un Festival! La préparation cependant, est transposée au Paradis pour la circonstance. Trois petits anges, deux garçons et une fille (que le poème identifie explicitement aux trois enfants de la Légende), peignent, écrivent et composent pour tous les instruments. Saint Nicolas tente de les arracher pour un instant à leurs passionnantes activités artistiques.
Le Festival dont il est question est encore une entreprise de l’Abbé Joseph Bovet (« Joséphin » dans le poème), et du metteur en scène Jo Baeriswyl. Préparé pour le Katholikentag (Traduire: Congrès des Associations catholiques de toute la Suisse), qui allait avoir lieu à Fribourg en 1935, ce spectacle populaire fut donné avec un succès extraordinaire sur la grande place de la Planche Supérieure, en plein air. Malgré l’ampleur et les aspects très nouveaux de la dramaturgie, le Mystère (ainsi était intitulée l’oeuvre) n’a pas laissé dans le répertoire chanté autant de traces que le Mon Pays de l’année précédente. Le sujet choisi pour la carte témoigne à nouveau de l’amitié d’E. Reichlen pour l’Abbé Bovet.
Commentaires de Louis Dietrich:
Encore un Festival! La préparation cependant, est transposée au Paradis pour la circonstance. Trois petits anges, deux garçons et une fille (que le poème identifie explicitement aux trois enfants de la Légende), peignent, écrivent et composent pour tous les instruments. Saint Nicolas tente de les arracher pour un instant à leurs passionnantes activités artistiques.
Le Festival dont il est question est encore une entreprise de l’Abbé Joseph Bovet (« Joséphin » dans le poème), et du metteur en scène Jo Baeriswyl. Préparé pour le Katholikentag (Traduire: Congrès des Associations catholiques de toute la Suisse), qui allait avoir lieu à Fribourg en 1935, ce spectacle populaire fut donné avec un succès extraordinaire sur la grande place de la Planche Supérieure, en plein air. Malgré l’ampleur et les aspects très nouveaux de la dramaturgie, le Mystère (ainsi était intitulée l’oeuvre) n’a pas laissé dans le répertoire chanté autant de traces que le Mon Pays de l’année précédente. Le sujet choisi pour la carte témoigne à nouveau de l’amitié d’E. Reichlen pour l’Abbé Bovet.